Le dimanche 01 décembre à 14h30
Requiem pour un smartphone
L'association Domaine de Morlay vous invite à un après-midi qui alliera dans la bonne humeur théâtre engagé et débat citoyen sur un thème qui nous concerne tous : l'impact du numérique sur nos vies.
Ce « Dimanche à Morlay » s’inscrit dans le cadre de Festisol 2024 qui en soutenant le spectacle de la Compagnie Bulles de Zinc engage les spectateurs dans une réflexion sur la sur-numérisation de nos sociétés.
« Requiem pour un smartphone » est une trilogie théâtrale qui soulève des questions importantes sur l’impact environnemental et humain de nos smartphones.
Pour commencer, nous animerons un débat qui peut être drôle et surprenant tant chacun
se demande si les outils de ce type sont ses amis ou ses ennemis et essaye de
trouver son chemin entre promesses et dérives du numérique.
A 17h Emmanuel Lambert jouera ce Requiem, une fable politique qui oscille entre rage, tendresse et poésie pour questionner notre rapport à ces objets omniprésents.
L’objet du délit ? Un smartphone, celui d’Amina, autour duquel gravitent trois personnages. Chacun va délivrer le récit qui le lie à cet objet : depuis l’esclavage dans les mines du Congo jusqu’à l’amour inconsidéré d’un homme pour cette jeune femme pleine de colère.
L’après-midi se terminera par un apéro partagé en compagnie de l’auteur de la pièce.
Ce « Dimanche à Morlay » s’inscrit dans le cadre de Festisol 2024 qui en soutenant le spectacle de la Compagnie Bulles de Zinc engage les spectateurs dans une réflexion sur la sur-numérisation de nos sociétés.
« Requiem pour un smartphone » est une trilogie théâtrale qui soulève des questions importantes sur l’impact environnemental et humain de nos smartphones.
Pour commencer, nous animerons un débat qui peut être drôle et surprenant tant chacun
se demande si les outils de ce type sont ses amis ou ses ennemis et essaye de
trouver son chemin entre promesses et dérives du numérique.
A 17h Emmanuel Lambert jouera ce Requiem, une fable politique qui oscille entre rage, tendresse et poésie pour questionner notre rapport à ces objets omniprésents.
L’objet du délit ? Un smartphone, celui d’Amina, autour duquel gravitent trois personnages. Chacun va délivrer le récit qui le lie à cet objet : depuis l’esclavage dans les mines du Congo jusqu’à l’amour inconsidéré d’un homme pour cette jeune femme pleine de colère.
L’après-midi se terminera par un apéro partagé en compagnie de l’auteur de la pièce.
Dates et horaires
Tarifs
Tarif de base
(Entrée libre (accès à partir de 15 ans))
